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La matrice de l’âme, Tome 26, Volume 1 : La nudéité de la Chair divine ou la plaie ontologique dans la matière : La connaissance édénique de l’Esprit

Annick de Souzenelle, dans sa conscience spirituelle, nous interpelle à nous unir à l’Esprit. Car l’Unité naît de l’Esprit – : Annick de Souzenelle possède à sa manière la Sagesse de la Divinité. C’est en cela qu’elle est un génie si rare de l’Humanité, aujourd’hui. Émerveillée, elle est émerveillante. Dans cet état d’être, à sa […]

ISBN: 978-9975-153-99-7

73.50

Category:

Additional information

Author

Sekou Sanogo

ISBN

978-9975-153-99-7

Language

Number of pages

599

Publisher

Publication year

Description

Annick de Souzenelle, dans sa conscience spirituelle, nous interpelle à nous unir à l’Esprit. Car l’Unité naît de l’Esprit – : Annick de Souzenelle possède à sa manière la Sagesse de la Divinité. C’est en cela qu’elle est un génie si rare de l’Humanité, aujourd’hui. Émerveillée, elle est émerveillante. Dans cet état d’être, à sa façon, ou dans ce courant d’énergies subtiles, la forme corporelle n’est pas rejetée comme quelque chose d’indigne, mais elle est un véritable corps médian au service de Dieu, de Adam et de Adama, de Ish et de Isha, au service de l’Humanité. Le corps dense, en harmonie avec le corps de l’Âme de l’Esprit, devient alors un attribut de la Chair divine : l’Esprit qui nous éclaire par sa Lumière. C’est cela la renaissance. Parce que nous le comprenons ainsi, nous ne pouvons plus en l’occurrence nous en faire une représentation tridimensionnelle, mais édénique, c’est-à-dire qui jouit de la connaissance d’un Fragment spécifique de la volonté de Dieu, un Reflet qui est Lui-même imprégné de la Lumière de l’Esprit universel. Ici, il est impossible de s’arroger l’Identité de Dieu. Là, le Reflet de Dieu n’est pas dévalué. Jésus a humblement dit : “Qui a vu le Fils, a vu le Père. Nul ne va au Père que par le Fils”. Là-bas se révèle une énigme épistémologique. C’est ainsi que la Présence divine se connaît en tant que telle, vivante dans sa Tendresse éternelle et sa Solitude amoureuse dans l’Enseignement, laissant son Reflet à sa place de Reflet et le Miroir à sa place de Miroir. Et l’Enfant Jésus reconnaît après tout qu’il est Matière-Mère.