MARCHEUR D’INFINI

Description

Si l’on admet que notre rapport à l’existence relève de la Réalité factuelle du Temps et des choses bien davantage que de morale entre le Bien et le Mal… Si notre jugement se fonde sur la vérité entre « vrai » et « faux » (ou entre « être » et « non-être ») plutôt que sur un sentiment d’exister qui puise en sa perception de l’Infini des pensées illimitées qui saisissent le Monde en Totalité, avec une approche idéaliste du Bien et du Beau qui spiritualise la rationalité cartésienne d’un cœur plus grand que la raison… Trouvant en la Métaphysique des « impératifs catégoriques » qui immobilisent le Temps et Le définissent jusqu’à sa Fin, en transgression d’une Nature processuelle qui n’a de Sens qu’en ce qui se s’incarne d’aujourd’hui à demain et substantifie jour après jour l’Invisibilité du Futur, avec des pas suivis qui frayent leur chemin sans aucune visibilité plus lointaine que le pur abandon du pas précédent… Si l’on admet que notre inconnaissance du Futur n’a pas à être meublée de « pur esprit » qui arbitre sa volonté en fonction d’un Bien Incréé qui soit à l’Origine du Monde et fasse revenir le Temps vers son Commencement… malgré que cela « ne soit pas » et n’ait aucune forme de réalité dans l’existence… Alors se posera la question de pensées qui préjugent de leur capacité à contenir la cadence « vide et vague » des secondes et à prédestiner le Temps en raison que l’âme « à l’image de Dieu » soit « comme maître et possesseur de la Nature » ! Disposant en soi du « pouvoir » de se substituer à Lui et de continuer la Création!…