L’ANCRAGE PERCEPTIF DES OISEAUX CHEZ GIONO ET LE CLÉZIO

Description

Avec L’Ancrage perceptif des oiseaux chez Le Clézio et Giono, comme chez les écologistes d’ailleurs, où un prolongement est fait, il est manifeste que l’homme ne peut vivre heureux, qu’en trouvant ses repères dans la nature qui apparaît essentielle à son équilibre. Ainsi, dans Regain, Que ma joie demeure et Colline, Giono fait mention des oiseaux que sont: la grive, le corbeau, la draine, le turquin, le tangara, le bouvreuil, le bruant, l’ouette, le serli, le tarin, l’agripenne, le chardonneret, la vengoline, la linotte, le jaunoir, le sizerain, le titiri, la passerine et le rossignol. Concernant Le Chercheur d’or, Mondo et autres histoires, La Quarantaine, Raga: Approche du continent invisible, Le Livre des fuites, Désert, Ourania et l’interview accordée à La Quinzaine littéraire, Le Clézio convoque le macoa, l’ibis, la mouette, l’oiseau-bœuf, la sterne, le goéland, le paille-en-queue, l’aigrette, le bengali, l’épervier, la cigogne, l’hirondelle, l’outarde, la grue, le fou, la frégate, la grasse, le cormoran, le corbijou, la perdrix, le geais, l’aigle et le vautour. Comme le laisse entendre les auteurs du corpus, ces oiseaux participent à l’épanouissement total des personnages.