VINGT-CINQ MILLE ANS DE COMPORTEMENT SEXUEL HUMAIN: De la grotte Chauvet aux premières maison

Description

Dans l’atmosphère puritaine-répressive du XIXe siècle, le génial Darwin puis le très fabulant Freud ont tracé un portrait tout imaginaire de l’abominable «homme primitif ». Dans l’Introduction de cet essai, Gérard Zwang explique comment les progrès de la Paléanthropologie, depuis un siècle, ont complètement démenti cette caricature. Puis il rappelle les conditions personnelles et environnementales qu’exige l’union charnelle d’un homme et d’une femme, et comment les Paléolithiques ont dû vraisemblablement s’en accommoder. La sédentarisation du Néolithique a favorisé l’existence et la prolifération de l’espèce. Mais elle aussi inauguré la sujétion des femmes, dont bien de nos contemporaines ne sont pas encore libérées. Alors que les nomades du Paléolihique ont témoigné des rapports de coopération bienveillante entre les deux facettes de l’humanité, hommes et femmes. Bons rapports qui ont pu déboucher parfois, pourquoi pas, sur l’amour…