UNE RÉPUBLIQUE EN VERS

Description

Le poète fait la poésie de la conscience dont le miroir est le langage. Dans son texte, il expose les maux qui minent son pays : le népotisme, le tribalisme, la corruption… Il s’intéresse à la conscience de la guerre de sécession et en appelle à la fraternité et la paix. Il réclame au président de son pays un bon héritage dont la démocratie qui n’est que de nom actuellement.
Vive la fraternité !
Quand vous veniez à vos frères, vous veniez à la camerounité
Vous ne veniez pas à une francophonie spécieuse
On n’empêche tout de même pas à l’enfant de pleurer son pleur
Mais qu’il sache que le lait qu’il gobe n’est que ce que peut produire la femme
Qui l’a porté dans la douleur et le plaisir.